Avoir un « coup de foudre », un « coup de grisou », être « au coeur de la tempête »… sont des expressions empruntant au vocabulaire météorologique. Elles sont l’origine de conversations engagées un soir de vernissage, à Metz.
Par groupes, le public du FRAC fut accueilli dans le salon d’une résidence médicalisée pour séniors, au bout de la rue. Ses habitant·e·s, mes complices dans cette performance, y avaient une anecdote à raconter. Une table, quatre chaises et s’engageaient alors des conversations ordinaires, mais hors du temps.